Au premier abord, la métropole semble être l’endroit idéal pour la mise en place d’un enseignement multilingue. Cela semble en effet une évidence puisque nulle part ailleurs est-il possible de rencontrer autant de langues et de cultures sur une si petite superficie. Pourtant, il s’avère que l’enseignement multilingue à Bruxelles peine à se développer. Comment expliquer cette inertie / stagnation / paralysie ? Quels facteurs entrent en jeu dans le choix de l’enseignement multilingue ? Quelles recommandations pouvons-nous formuler pour l’avenir ?
Conférence en deux langues